000 | 02079nam a22002417a 4500 | ||
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003 | ZW-GwMSU | ||
005 | 20240412064930.0 | ||
008 | 240409b |||||||| |||| 00| 0 eng d | ||
022 | _a0850390 | ||
040 |
_aMSU _bEnglish _cMSU _erda |
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050 | 0 | 0 | _aHC501 AFR |
100 | 1 |
_aEwihn-Liba, Pana _eauthor |
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245 | 1 | 0 |
_aActualité de la pensée économique de Karl Marx et analyse de la crise économique africaine/ _ccréé par Pana Ewihn-Liba |
264 | 1 |
_aDakar: _bCODESRIA, _c1997 |
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336 |
_2rdacontent _atext _btxt |
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337 |
_2rdamedia _aunmediated _bn |
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338 |
_2rdacarrier _avolume _bnc |
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440 |
_aAfrica development _vVolume 22, number 2 |
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520 | 3 | _aCet article examine dans quelle mesure la théorie économique de Karl Marx peut expliquer la crise économique actuelle en Afrique. L'auteur s'interroge notamment sur la notion de classe et examine dans quelle mesure cette notion peut être conciliée avec les implications du concept centre/périphérie élaboré par Samir Amin. Or, l'analyse marxienne du cycle économique conjoncturel garde son caractère actuel. La crise économique qui traverse les économies africaines est liée à leur remarquable ouverture sur le monde extérieur. La crise a été rendue possible par l'hétérogénéité sociale des pays d'Afrique noire: les couches supérieures ont pu s'approprier la plus grande part des fruits du développement. Le modèle de l'interventionnisme de l'État n'a plus eu dès lors le dynamisme qui lui aurait permis de conduire de façon autonome la transformation économique qui était de plus en plus orientée vers le centre capitaliste. Le centre oblige maintenant les économies périphériques africaines à des ajustements pour faire face aux conséquences des changements survenus dans les économies développées. Ce qui s'impose aujourd'hui, c'est la modernisation de l'État africain qui passe par la mise en place d'une société civile efficace. | |
650 |
_aNorth south relations _xEconomic theory _zAfrica |
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856 | _uhttps://doi.org/10.57054/ad.v22i2.2457 | ||
942 |
_2lcc _cJA |
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999 |
_c164744 _d164744 |