The feminization of psychology: Data from South Africa created by Kerry Skinner and Johann Louw
Material type: TextSeries: ; Volume , number ,Rondebosch Psychology Press 2009Content type:- text
- unmediated
- volume
Item type | Current library | Call number | Vol info | Copy number | Status | Notes | Date due | Barcode | |
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Journal Article | Main Library - Special Collections | BF1. A158 INT (Browse shelf(Opens below)) | Vol 44.No.2. pages 81-92 | SP2281 | Not for loan | For Inhouse use only |
In many countries, women outnumber men in psychology, both as students and as professionals. Much of this information is drawn from Europe and the USA, and the information available about the situation in developing countries is a lot less detailed. The steady increase in the presence of women in psychology in South Africa is examined, via access to two large national databases and telephone interviews. These sources are the most reliable available, and are comprehensive enough to give a very good snapshot of women in psychology in this country over the last 12 years. The data indicate that psychology as a profession in South Africa is dominated by women. Although the applied practical aspects of the discipline attract women disproportionally, women are also over‐represented in research psychology and academia (except at the professorial level). The racial composition of the profession remains skewed, with white psychologists in the majority. Although the data in this regard are incomplete, approximately 5% of registered psychologists are black. An examination of student enrolments suggests that this situation will continue in future, as women (and white students) enrol in much greater numbers for both undergraduate and postgraduate degrees. In 2002, 74% of psychology majors were women, and 78% of all Master's degrees in psychology were awarded to women. Thus it would appear that the feminization of psychology in this country is further advanced than in Europe and the USA. It is not a question of men abandoning the profession, but rather that women entered the profession at a much higher rate in recent years.
Dans beaucoup de pays, le nombre des femmes en psychologie dépasse celui des hommes, à la fois en tant qu’étudiantes et professionnelles. La plupart de cette information provient de l’Europe et des États‐Unis. De plus, l’information disponible sur cette situation dans les pays en voie de développement est pas mal moins détaillée. L’augmentation stable de la présence de femmes en psychologie en Afrique du Sud est examinée, à travers l’accès à deux grandes bases de données nationales et à travers des entrevues téléphoniques. Ces sources sont les plus fiables disponibles et elles sont assez compréhensives pour offrir un très bon instantané des femmes en psychologie dans ce pays pendant les dernières douze années. Les données indiquent que la psychologie en tant que profession en Afrique du Sud est dominée par les femmes. Même si les aspects appliqués‐pratiques de la discipline attirent disproportiennellement plusieurs femmes, celles‐ci sont aussi sur‐representées dans la recherche en psychologie et en académie (sauf le niveau des professeurs). La composition raciale de la profession demeure biaisée, avec des psychologues blancs dans la majorité. Même si les données à cet égard sont incomplètes, approximativement 5% des psychologues agréés sont noirs. L’analyse des inscriptions universitaires suggère que cette situation va se poursuivre à l’avenir car les femmes (et les étudiants blancs) s’inscrivent en beaucoup plus grand nombre pour le premier ainsi que le deuxième cycle. En 2002, 74% des diplômés en psychologie étaient des femmes et 78% des diplômes de maîtrise étaient attribués à des femmes. Ainsi, il semblerait que la féminisation de la psychologie dans ce pays est plus avancée qu’en Europe et qu’aux États‐Unis. Ce n’est pas une question d’hommes qui abandonnent la profession mais plutôt de femmes qui entrent dans la profession en un nombre beaucoup plus grand dans les dernières années.
En varios países, el número de mujeres, tanto estudiantes como profesionales, en psicología es mayor que el de los hombres. La gran parte de esta información proviene de Europa y los EEUU, y la información sobre los países en desarrollo es mucho menos detallada. Se examina el constante incremento en la presencia de mujeres en psicología en Sudáfrica accediendo a las dos grandes bases de datos nacionales y realizando entrevistas telefónicas. Estas fuentes son las más fiables de las disponibles y suficientemente comprensivas para reflejar muy bien la situación de las mujeres en este país a lo largo de los últimos doce años. Los datos indican que la psicología como profesión en Sudáfrica esta dominada por las mujeres. Aunque los aspectos aplicadosprácticos de la disciplina atraen desproporcionalmente muchas mujeres, éstas son también las sobrerrepresentadas en investigación y aspecto académico de psicología (aparte del nivel profesional). La composición racial de la profesión sigue sesgada hacia los psicólogos blancos en la mayoría. Aunque los datos sobre este aspecto son incompletos, aproximadamente 5% de los psicólogos registrados son Negros. Un análisis de las inscripciones de estudiantes sugieren que esta situación continuara en el futuro dado que el número de las mujeres (y estudiantes blancos) que se inscriben en los estudios universitarios y postgraduados es mayor que el de los demás. En 2002, el 74% de los especializados en psicología fueron mujeres y el 78% de los títulos de licenciado en psicología se otorgó a mujeres. Parece que la feminización de psicología en este país es mucho más avanzada que en Europa y los EEUU. No se trata de los hombres quienes abandonan la profesión sino de las mujeres que entran en la profesión en un porcentaje alto en los últimos años.
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